La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1527)

Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1526) -

Chapitre 6 : La cabane des Gariabans -

Ensuite, je repartais fébrile mais les couilles vidées, en direction de la Bastide… Une fois revenu, je voulais passer le portail de la Bastide le plus discrètement possible pour ne pas réveiller Charles et Louise. « Oh zut ! » m’exclamais-je en arrivant devant celui-ci. Tous deux étaient là, dans la cour, assis autour d’une petite table ronde et prenaient tranquillement leur petit déjeuner sous le vieux tilleul. Ils étaient beaux à voir tous les deux, semblant amoureux comme au premier jour. Ils me hélaient, je descendais la glace de mon véhicule et ne leur laissais pas le temps de me dire quoi que ce soit.

- Bonjour Louise, bonjour Charles, je rentre d’un jogging, je suis en nage, je repasse dans un moment.

Je mentais éhontément, car comment justifier le fait d’être presque nu dans ma voiture ?

- Oh non Monsieur Alexandre vous n’aurez pas le temps, c’est moi qui monte vous chercher dans 5 minutes, vous vous rappelez, on doit commencer l’effeuillage, me disait Charles
- Donnez-moi cinq bonnes minutes, Charles.
- Nous sommes déjà en retard Monsieur Alexandre, il va faire très chaud encore aujourd’hui, je ne pourrai pas travailler cette après-midi, il faut se presser.
- Ah, OK, lui répondais-je tout en redémarrant.

J’avais le cerveau en vrac avec ce que je venais de vivre au Château d’Evans. Je ne pigeais rien de ce que disait Charles. Sur les cents mètres du chemin séparant nos deux habitations, je cogitais, et réfléchissais à voix haute : « effeuillage, c’est quoi ce truc d’effeuillage, lui aussi veut me foutre à poil ? ». J’entrais chez moi, montais quatre à quatre les escaliers pour aller dans ma chambre et filais à la salle de bain. Une bonne douche chaude allait me faire du bien… « Oh, mon cul est encore bien ouvert ! » me disais-je distinctement en me lavant les fesses… A peine venais-je de sortir de la douche que déjà Charles m’appelait :

- Monsieur Alexandre, Monsieur Alexandre, vous êtes prêt ?

Non je ne l’étais pas, pas encore, je cherchais désespérément un short suffisamment large pour dissimuler cet attirail riveté à mon sexe.



- J’arrive Charles, j’arrive….

Je descendais, courais dans tous les sens, prenais un bout de pain, j’avais faim ! Un peu d’eau, j’ai soif ! …Mon téléphone bipait, alors je pestais encore. « Mais on ne va pas me lâcher ce matin ». Instinctivement je regardais mon écran… oups un message du Maître !

- Tu es un bon vide-couilles, Mon chien soumis, tu dois être rempli très régulièrement !

Ce message avait un effet immédiat sur ma… comment déjà… ah oui ma nouille ! Le cockring tirait sur mes testicules projetés vers l’avant, tant il y avait de pression dans cette cage. « Zut, zut et zut, ce n’est pas le moment ! » pensais-je

- Merci Maître répondais-je très vite en retournant à la salle de bain pour passer ma nouille sous l’eau glacée, afin de la calmer.

Je retrouvais enfin Charles, qui fulminait et tournait en rond…

- Me voilà Charles, me voilà, bien désolé…
- Ah enfin !
- Oui, désolé Charles, vraiment désolé. Dites-moi, c’est quoi cette histoire d’effeuillage ?
- Vous, Monsieur Alexandre, il faut arrêter d’aller voir les jolies jeunes filles le soir, Louise et-moi, nous vous avons entendu passer hier en fin d’après-midi, vous sembliez pressé d’aller la retrouver. Je ne sais pas qui elle est, mais elle doit être sacrément belle. Charles me lançait un clin d’œil rieur.
- Tout ça ne me dit pas ce qu’est l’effeuillage, Charles ? Reprenais-je en souriant.
- Je vous l’ai déjà expliqué, Monsieur Alexandre, effeuiller la vigne, c’est couper les feuilles près des fleurs, pour favoriser la maturation des raisins.

« Oh, quel idiot suis-je ! », pensais-je. Je me voyais déjà en train de me désaper devant Charles où quelqu’un d’autre… Ca me montait vraiment à la tête ces histoires de soumission ! Je soufflais !... Charles et moi marchions, côte à côte, sur le chemin nous emmenant à la vigne, lorsqu’un nouvel sms arrivait :

« Rendez-vous à 16 heures, au bout de ta vigne dénommée les Gariabans, dans la cabane, tu m’attendras nu, couché sur le dos, jambes relevées sur ta poitrine, signé Le Maître.
»
- Bien Maître, à Vos Exigences, Maître, tapais-je pour répondre au plus vite.

Même effet au niveau de mon bas-ventre, la toile de mon short se tendait, mais ici, impossible de régler le… problème, d’avoir la même thérapie, pas d’eau glacée à disposition…

- C’est votre douce qui vous envoie des petits messages…, me demandait Charles.

Je me contentais de sourire. Charles reprenait.

- Vous avez bien raison de ne rien dire. Vous savez Monsieur Alexandre, j’ai été jeune avant vous, et je sais ce que c’est quand on est au début d’une relation amoureuse, on ne dit rien, ce sont des choses qu’on garde pour soit !

Ma matinée à effeuiller la vigne était des plus pénibles, le sommeil me manquait, mes pensées m’entrainaient continuellement vers ce que j’avais vécu hier et ce matin au Château. Et lorsque celles-ci s’estompaient, je me mettais à gamberger sur ce rendez-vous prévu en ce milieu d’après-midi. A quoi devais-je m’attendre ? Qu’allais-je devoir subir ? Seule chose que je savais, mon excitation montait au fur et à mesure que l’heure approchait, ma nouille cherchait à s’ériger constamment. A treize heures, Charles et moi regagnions la Bastide. La brave Louise nous attendait avec un copieux déjeuner préparé.

- Je vous ai fait une bonne salade de tomates du jardin avec quelques côtelettes d’agneau grillées et une bonne purée maison de nos pommes de terre, est-ce que ça peut vous convenir Monsieur Alexandre ?

Oh que oui que ça me convenait… J’avais faim de tout et de sexe en particulier !… Ce bon repas me requinquait de mes fatigues… Seize heures allaient sonner sous peu, je me pressais. J’avais fait la sieste, pris une nouvelle douche et maintenant j’empruntais le chemin m’emmenant à la vigne des Gariabans. Là il y avait une vieille cabane de vignerons, j’y entrais. L’intérieur était parfaitement rangé et le planché était propre et balayé. Je me déshabillais donc et me positionnais comme exigé, à même le sol, avec la trouille au ventre.
Ce petit mas de pierre était à proximité du chemin départemental. Certes ce n’était pas l’autoroute mais, de temps à autre, j’entendais passer une voiture, une mobylette, ou un engin agricole. J’étais sur mes gardes. Et si quelqu’un me voyait là… nu, avec cette cage de chasteté et dans cette posture humiliante et difficile à tenir parce que mes muscles étaient encore courbaturés de la veille !

« Quelle dépravation ! » me disais-je en me voyant ainsi… Fallait-il une telle rupture pour être celui que je souhaitais être ?, pour m’accepter tel que j’étais ?, pour vivre ma propre Nature servile ? Le jeune homme de bonne famille, intello, style gendre parfait, se trouvait là, les jambes en l’air, cul à disposition, totalement corrompu et perverti, dans la plus complète déliquescence et la totale concupiscence… Je n’étais pas qu’un chien soumis ou un animal de compagnie, j’étais simplement esclave de mes pensées vicieuses et lubriques, esclave de mon corps en me livrant aux plaisirs sensoriels et charnels, et en acceptant le vice et la lubricité ! Je laissais exprimer mes plus bas instincts sexuels et pervers dans cet animal qu’il y a dans chacun de nous… J’étais là en cette position scabreuse parce que Monsieur le Marquis le voulait, parce que je souhaitais le voir s’approprier la moindre parcelle de mon esprit et de mon corps qui ne m’appartenaient plus, en étant juste utilisé, besogné, Lui servir de vide-couilles, être juste Son objet de plaisir ? Sa chose ? Qu’Il dispose de mon corps nu selon Son bon vouloir… Mon cerveau était en vrac, un vrai tournis bouillonnant dans ma tête, une enivrante fièvre, telle une chienne en chaleur m’envahissait alors, je me sentais salope, pute, lopette, juste bonne pour la saillie… et cette excitation ne me lâchait pas ! Me donner en spectacle, me faire prendre par mes deux trous, buccal et anal, oui me faire baiser aiguillonnait tous mes sens en éveil, quand j’entendis …

- Mon chien soumis est-il là ?

Je reconnaissais de suite la voix à extérieur de Monsieur le Marquis.
Puis il donnait un grand coup de pied dans la porte en bois pour l’ouvrir. Il était en tenue de Gentleman Farmer, on eut dit un Lord Anglais, avec des bottes en caoutchouc aux pieds, une casquette rivée sur la tête, cravache en main, fouet à la ceinture. Il tenait en laisse, un jeune homme blond, peut-être un peu plus jeune que moi, totalement nu en quadrupédie, hormis le collier qu’il portait au cou, le sexe non encagé parfaitement érigé. Ce jeune soumis blond aux yeux clairs, poitrine velue, ne montrait pas une quelconque gêne, au contraire, son attitude était parfaitement naturelle, comme si tout lui semblait évident, ordinaire, normal, familier…

- kévinsoumis, regarde ton congénère comme il se complet dans l’outrage et la débauche… C’est lui qui va te vider tes couilles de chien, tu vois comme il sait t’offrir sa belle petite chatte de mâle soumis, lui disait le Maitre.

kévinsoumis ne disait rien, il restait à quatre pattes, le regard bas, les mains en appui au sol. Même maintenant il restait stoïque, alors que le Maître le branlait énergiquement. kévinsoumis restait imperturbable, ne geignait pas, comme s’il ne prenait aucun plaisir à se faire masturber de la sorte. En réalité, il devait en prendre mais juste intérieurement car visiblement il avait été dressé, éduqué, formaté pour ne laisser apparaitre aucun gémissement, on lui avait appris à rester impassible et silencieux à toute débauche. Il s’était juste contenté d’ouvrir un peu plus les jambes et avait avancé son bassin un peu plus vers l’avant pour que la Noble main ait toute l’amplitude nécessaire pour de longs vas-et-viens sur son membre tendu à l’extrême. Il était bien monté le bougre, une belle et impressionnante hampe bien veinée avec un gland fortement violacé et bien décalotté, qui perlait.

- Allez le chien, va, va t’occuper de cette petite salope.

Le Châtelain défaisait la laisse du collier, lui toujours à quatre pattes. Vu son état d’excitation je m’attendais à ce qui se jette sur moi et m’embroche d’un coup d’un seul, tel un prédateur affamé. Non, on lui avait appris par un dressage parfait à se comporter comme un chien animal, ainsi il commençait d’abord tourner autour de moi, puis à venir entre mes jambes et enfin à me flairer le cul, me donnait quelques coups de langue sur mon anus, mes couilles pendantes. Puis kévinsoumis se levait subitement sur un claquement de doigts du Châtelain pour venir m’enjamber accroupi et s’asseoir ainsi sur mon visage. Je humais ses fragrances intimes, me délectais de ces odeurs de sexe, de cul et peut-être même de sperme. Il se remettait ensuite à quatre pattes, posait et frottait son sexe rigide et droit à la verticale contre mes lèvres...

- Qu’attends-tu pour le lécher, me lança le Maître sur un ton de réprimande !

Mes pensées obscènes m’avaient presque fait oublier la présence du Maître… Le bout de Sa botte en caoutchouc pressant mes testicules, me ramenait à la juste réalité. Sous la douleur, ma bouche s’ouvrait largement, je geignais. J’étais toujours couché sur le dos et donc mon congénère en profitait pour venir placer et loger ses testicules dans mon orifice buccal grand ouvert… Je manquais d’ ! Il me fallait quelques secondes pour comprendre ce qu’il attendait. Sitôt ma langue en action, il relâchait son étreinte, se redressait quelque peu sur ses jambes, je pouvais enfin respirer. J’humectais alors de ma salive, ses testicules glabres, sa hampe dressée, son gland brûlant sur lequel un filet de précum s’écoulait. kévinsoumis se soulevait encore, pour cette fois-ci se cambrer et insérer totalement son sexe dans ma bouche. « Ah le salaud ! » pensais-je ! Avec ses deux genoux, il me bloquait la tête et s’enfonçait de plus en plus profondément dans ma gorge. J’hoquetais, pleurais, bavais, gigotais, tentais par tous les moyens d’échapper à cet énorme phallus dur comme du marbre, mais encore une fois, le pied du Maître pressant mes burnes, m’obligeait à avaler, à prendre ce gros membre en fond de gorge.

- Allez, prends-le maintenant !, lui ordonnait le Maître.

Son sexe couvert de salive et de liquide séminal était prêt à l’emploi. Moi, toujours sur le dos, les jambes grandes ouvertes, lui offrais mon anus. Lui, ajustait son membre sur mon orifice et me pénétrait d’une lente poussée continue. Il aurait dû râler de plaisir, mais formaté à ne rien laisser apparaitre, il se contentait de s’enfoncer profond en faisant des tous petits va-et-vient dans mon cul alors que, moi, j’étouffais un petit geignement douloureux. Une fois bien calé en mon fondement, il commençait alors à me ramoner avec cette fois d’amples coups de reins bien prononcés. Ses coups de butoir réalisés avec sa parfaite impassibilité telle une machine mécanique, mes gémissements, l’odeur de baise, la vue de ce soumis ultra-formaté, que je ne connaissais pas dix minutes plus tôt, presque couché sur moi en train de me besogner, dans ce lieu sous le regard attentif de Monsieur le Marquis, la pression de ce méga sexe sur mon muscle anal, tout contribuait à m’exciter ! Je me sentais être une sale pute à plaisir juste pour qu’on jouisse de mon corps de catin, et ça m’excitait également. Comme par réflexe, mon anneau de chair se resserrait sur ce chibre à chaque fois que celui-ci cherchait à se dégager de mon fourreau, se détendait lorsque ce membre turgescent était aspiré au fond de mon conduit brulant. Je me sentais partir, je le voyais se cabrer, se raidir et sans gémir, tête rejetée en arrière, juste ses yeux révulsés, des gouttes de sueur perlant sur son front, la bouche juste entrouverte mais immobile, concentré sur son plaisir silencieux. En me tenant par les jambes, kévinsoumis continuait à me labourer parfois doucement, parfois brutalement, comme s’il souhaitait ameublir mes chairs intimes. Je sentais sa totale détermination et devinais venir sa jouissance arriver à toute vitesse.

- Vas-y, tu peux jouir, et tu es autorisé à exprimer ton plaisir, à lâcher ton orgasme bruyamment, ordonnait le Maître.

A bout de souffle, kévinsoumis éjaculait alors longuement en mon cul, tout en gémissant bruyamment, lâchant des râles jouissifs à n’en plus finir. Quel contraste ! Il avait été formaté pour ne rien laisser paraître de son plaisir et maintenant qu’il était autorisé à l’exprimer, il ne se gênait pas pour beugler à tout va ses râles orgasmiques !… Le temps qu’il reprenne ses esprits, il restait planté en moi, un long moment encore, jusqu’à ce que je sente son sexe mollir et fuir mon orifice dilaté et dégoulinant vers l’extérieur un peu de sa semence crémeuse.

- Oh merci Vénéré Maître !, disait-il en embrassant en position prosternée, les pieds du Châtelain
- Ça t’a fait du bien de te vider, après près d’un mois d’abstinence totale.
- Oh oui Maître, merci beaucoup de m’y avoir autorisé, continuait-il tout en léchant les chaussures du Noble.
- Allez maintenant, fais ce que je t’ai ordonné de faire avant d’arriver ici, nous devons repartir très vite au Château.
- A Vos Exigences Maitre

Le jeune soumis se relevait, m’enjambait face à moi, en passant une jambe de part et d’autre de mon corps, mettait ses bras derrière le dos, baissait la tête pour regarder son sexe et … pissait ! En effet il me pissait dessus sans n’être embarrassé, ni gêné. Il inondait mon ventre, éclaboussait ma poitrine de son urine chaude et peut-être bienfaitrice ? Le gendre idéal n’était plus, seul le soumis dépravé et souillé existait ! …

(A suivre…)

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